Les six cordes
La guitare
fait pleurer les songes.
Le sanglot des âmes
perdues
s'échappe par sa bouche
ronde.
Et comme la tarentule,
elle tisse une grande étoile
pour chasser les soupirs
qui flottent dans sa noire
citerne de bois.
( Graphique de la Petenera - Poésies II ( nrf - Poésie / Gallimard ))
Splendide !
RépondreSupprimerGuitare, mon amie de toujours, la seule qui me rende un son pur et doux suand je la serre dans mes bras.
La seule qui ne l'ait jamais déçue.
Merci pour ce beau poème, Patrick.
Bises émerveillées
¸¸.•*¨*• ☆
Splendide !
RépondreSupprimerGuitare, mon amie de toujours, la seule qui me rende un son pur et doux suand je la serre dans mes bras.
La seule qui ne m'ait jamais déçu.
Je sais c'est un plagiat de haut vol de la dame du dessus. Mais c'est tellement ce que j'ai envie d'écrire. Je ne connaissais pas ce poème de Lorca. Et même si ma guitare à moi ne sonne guère espagnole je le trouve magnifique. Pardon à Celestine. A bientôt tous deux.
Je voudrais être Lorca, mais Lorca est inatteignable ! Il fait pleurer les dieux, il fait trembler les mots, sa poésie m'a toujours fait frémir mes ailes, mûrir mon esprit et enserrer mon coeur. Merci d'en parler et de citer ces majestueux vers et lui on l'oublie pas. Bien à toi Patrick
RépondreSupprimerVos trois visites me font bien plaisir car justement en proposant ce poème, je pensais à vous trois, mes amis poètes ( dont deux sont guitaristes :) ). Bizak, tu as raison, Lorca est sans pareil. J'avoue n'avoir lu jusque là que ce recueil de sa poésie mais elle y paraît tellement naturelle.
RépondreSupprimerA bientôt.
Vraiment plus que beau!
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup sa poésie...
et ce qu'il dit de la guitare est une merveille!
Plus que beau, vous avez raison, Marie. En le lisant, on ressent qu'il a la poésie dans le sang.
RépondreSupprimerMerci de votre visite Marie.