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Album de la semaine #52
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Les tableaux de Hopper m'ont toujours bouleversé, même quand j'étais très jeune. As-tu eu l'occasion de voir le film Shirley:visions of reality?
RépondreSupprimerMoi aussi, ils me bouleversent. Souvent, des personnages solitaires perdus dans leurs pensées. Automate, Cinéma à New York, pour ne citer que ces deux-là.
RépondreSupprimerJe n'ai pas vu ce film. J'apprends son existence grâce à toi. J'espère le voir, c'est une bonne idée. Il y a plein d'histoires dans ces tableaux.
A bientôt.
Oui Patrick. Ce film assez expérimental est passionnant. Je l'ai chroniqué il y a trois ou quatre ans. A bientôt.
RépondreSupprimerJe suis allé lire ta chronique. Tu as raison, même si certains ont peur de trouver ça glaçant, il y a toujours à retirer de films aussi originaux.
RépondreSupprimerMerci. A bientôt.
Le pot de fleurs a
RépondreSupprimerfranchement
une tête d'indien
iroquois
avec sa crête de plumes...
Et le bonhomme
semble ignorer
que sa civilisation
est responsable de tant de massacres...
Un tableau allégorique, sans doute
Enfin, moi, ce que j'en dis...
¸¸.•*¨*• ☆
Ah voilà une interprétation bien trouvée, à laquelle je n'aurais jamais pensé.
RépondreSupprimerJ'étais juste intrigué par cet homme qui regarde quelque chose que nous ne voyons pas.
Bises.
La description faite par Céleste est percutante, je dois reconnaître que ses yeux ne sont pas seulement beaux mais d'un regard perçant de lynx. Bien à toi Patrick
RépondreSupprimerJe suis tout à fait d'accord avec toi. Ses yeux tout comme son esprit.
RépondreSupprimerA bientôt Bizak.
Merci mes amis... ;-)
SupprimerPatrick, si tu veux que les gens te laissent des commentaires, il faut que tu ailles dans
RépondreSupprimer"conception"
"paramètres"
"articles commentaires et partage"
et que tu coches "tout le monde" dans "qui peut ajouter des commentaires?"
Bisous
Céleste
¸¸.•*¨*• ☆
Voilà qui est fait. Merci Celestine. Bises. Moi et l'informatique, deux mondes en conflit ... :)
RépondreSupprimerNew York Movie (1939) était présenté dans la remarquable exposition La peinture américaine des années trente, au musée de l'Orangerie. Hoper connaissait bien la production cinématographique, américaine et européenne. Elle est fort belle la jeune femme blonde dans son uniforme d'ouvreuse, mais quelle tristesse l'accable, ou quelle angoisse ! Elle aussi, dans cette salle magnifique où se donne une fiction permanente, elle est entrée dans l'ère du doute…
RépondreSupprimerQuelqu'un observait (je ne me souviens plus dans quelle circonstance) un aspect angoissant, noir, au sens roman noir, criminel, dans de nombreux tableaux de Hoper. Et, de fait, il règne souvent une atmosphère pesante, une angoissante suspension du temps qui précède un « mauvais moment ». Dans la même exposition, on pouvait aussi admirer (je suis resté longtemps devant ce tableau) Gas (1940, Moma), qui n'est que la vision, au soleil couchant, d'une station service, le long d'une route secondaire, très isolée, cernée par une nature touffue, presque menaçante. Il faut vraiment être victime d'une panne d'essence pour songer à s'arrêter en ce lieu « hitchcockien ».
So long, fellow !
https://www.youtube.com/watch?v=yHRuAeEl1iw
On lira Hopper, et non Hoper !
RépondreSupprimerNew York movie est effectivement un de mes tableaux préférés d'Hopper. Par son prodige de cadre, de contrastes de lumières, par la beauté de cette femme, vous avez raison, par les questions que l'on peut se poser. A quoi pense-t-elle ? Le film qui passe dans la salle à côté, dont elle n'entend que le son, combien de fois l'a-t-elle entendu ?
RépondreSupprimerJe n'avais pas vu ce côté angoissant dans Gas. Et c'est vrai qu'à y regarder de plus prêt tout est fait pour donner l'impression d'isolement. Le sentiment d'angoisse m'envoie vers Lynch qui a subi l'inspiration d'Hitchcock et d'Hopper. De nombreux exemples dans ses films.
Merci de votre passage ici et d'y avoir laisser ce commentaire passionnant.
A bientôt.