C'est grâce à un Télérama que j'ai ouvert à la critique de son album Trystero's empire, que j'ai connu Johan Asherton. Lorsque j'ai lu ce titre, j'ai pensé à Vente à la criée du lot 49 de Thomas Pynchon auquel il fait référence. Et cela m'a poussé à parcourir le billet. Et ça aurait pu s'arrêter là. Mais non - j'ai peut-être même acheté le magazine pour la relire plus calmement. Dans celle-ci, on parlait de Marc Bolan, de Syd Barrett et de Nick Drake. Comment aurait-il pu y avoir meilleurs auspices ?
En fait, Johan Asherton est français et ne chante qu'en anglais.
Voici donc Seer en "vidéo". Je mets des guillemets parce que ce n'est qu'une photo pour illustrer l'écoute de la chanson. Mais en fin de compte, c'est assez conforme à mes premiers pas avec la musique d'Asherton. Écoutant la première chanson de Trystero's empire, feuilletant le livret du cd.
Seer
Johan Asherton : vocals and acoustic guitar
Gweltas Simon : tampura
Jean-Jacques Barbette : tibetan bowl, tam-tam
Oswaldo G. Nieto : sounds
I can see
What you cannot see
It's easy, it's free
And it hurts
Most of the time
And it's more
Than a simple door
Or a moving floor
Like Beauty
A voice, sublime
In the grey
Of a defunct day
Things will call their way
In a house
That's lost in time
And you'll see
What I cannot see
And you'll hear with fear
Like Beauty
A voice, sublime
Très beau à écouter. Merci Patrick
RépondreSupprimerUn artiste que j'aime beaucoup. Qui ne m'a jamais déçu. Merci Bizak.
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