Dans ma discothèque, il y a du Bob Dylan. Oui ... beaucoup. Et donc, il y a Highway 61 revisited, parce qu'après peut-être trente ans d'écoutes régulières, je suis toujours scotché par la puissance, la fureur, la beauté de Desolation row, Just like Tom Thumb's blues, Ballad of a thin man et par ce Tombstone blues qui réussit à succéder sans pâlir à Like a rolling stone, parce qu'après sa parution, son auteur a pu dire qu'il ne pourrait pas faire mieux et qu'aujourd'hui, en le plaçant aux côtés des cinq albums qu'il avait fait avant et de la quantité faramineuse qu'il a fait depuis, je le pense. Mais je suis prêt à en discuter.
Oui Patrick album fabuleux où tout est à retenir. Il y a deux semaines mes successeurs du ciné-club m'avaient organisé une soirée avec la projection de I'm not there de Todd Haynes. J'ai été gâté avec entre autres cadeaux le dernier album Rough and rowdy. Mais tu as raison, toutes générations confondues, Dylan c'est surtout les sept ou huit premières années qui comptent. En partie à tort. Mais je connais assez mal les albums plus récents dont certains sont sûrement très bons. A bientôt.
RépondreSupprimerHello Claude. J'aime beaucoup le dernier album. Comme en général ceux depuis les années 90. Des publications plus espacées mais selon moi plus intéressantes que dans les années 80 où il y a des choses dispensables. Les deux albums produits par Daniel Lanois sont très bien. Mais sur ces années 80, il y a des mystères : pourquoi ne met-il pas sur un album des chefs-d'œuvre comme Angelina ou Blind Willie Mctell ?
RépondreSupprimerJ'ai vu I'm not there à sa sortie au cinéma. Même si sur le papier, je trouve l'idée formidable, j'ai été très déçu. Enchanté par la partie Richard Gere dans l'univers Country-Basement tapés mais agacé par les parties Rimbaud au tribunal et celle avec Cate Blanchett.
A bientôt.