Rien à raconter - Gérard Manset - 1976
Parce qu'un jour, un certain Patrice ...
Il y a dans ma discothèque Rien à raconter en vinyle - forcément en vinyle car Manset n'a pas jugé nécessaire de le rééditer en CD - parce que j'ai essayé d'avoir le plus possible de ses disques - posséder l'intégrale est trop compliqué et ... surtout trop onéreux pour moi - parce que même si ses derniers albums m'ont refroidi, je reste un admirateur de son œuvre, que j'ai beaucoup écouté durant vingt ans, parce que dans les années 90, je le faisais souvent en compagnie d'Olivier, qui avait subi le même choc que moi quand son voisin de chambre, un certain Patrice, lui avait prêté une cassette sur laquelle il avait copié le deuxième disque de la compilation Toutes choses.
Ça aurait pu se faire autrement. Par Il voyage en solitaire à la radio par exemple, mais ça a pris ce chemin. De toute façon, ça se serait fait, car Manset devait arriver jusqu'à moi.
Extrait : Les vases bleues
J'ai presque rien à raconter. En fait, pas grand chose. Parce qu'en fait, je connais mal. Mal et pourtant j'écoute beaucoup. J'écoute beaucoup, mais un album en particulier qui ne me lâche plus depuis des années. La Mort d'Orion. 1970. Un album essentiel, c'est pas moi qui le dit, c'est Philippe Manoeuvre. Bon moi aussi, je le dis. Un album que j'écoute depuis des années est forcément essentiel.
RépondreSupprimerOh oui, La mort d'Orion est essentiel. Vous avez raison, Philippe et toi.
RépondreSupprimerPour le lien avec ton autre commentaire, j'ai été scotché de lire que c'était un des albums préférés de Mark Lanegan. Il reprend courageusement Élégie funèbre en français sur son album Imitations et en a fait une version duo avec Manset, Cover me with flowers of mauve.
A bientôt.